Compromis / 7 octobre 2024
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Connaissez-vous l’histoire de FAIN ? Découvrez nos origines !

Chez FAIN, nous sommes une entreprise leader dans le domaine du transport vertical en Espagne et en pleine expansion à travers toute l’Europe. C’est avec fierté que nous soulignons notre caractère familial. Forts de plus de 60 ans d’expérience, nous nous efforçons constamment d’offrir le meilleur service à nos clients. Mais connaissez-vous les moments clés qui ont marqué notre parcours ?

En 2020, nous avons lancé une série de 28 épisodes disponible sur notre chaîne YouTube. Intitulée #SerieMediavilla, cette série rend hommage à notre fondateur, Nicolás Mediavilla Ferruz. À travers ces épisodes, il partage son histoire ainsi que celle de notre entreprise de manière personnelle. Si vous maîtrisez l’espagnol, nous vous recommandons vivement de la visionner dès maintenant.

Un adolescent à la tête d’une entreprise

Nicolás Mediavilla Ferruz, initialement étudiant en ingénierie industrielle, a dû interrompre ses études pour reprendre l’entreprise familiale, « Ascensores Mediavilla », un petit atelier de 60 mètres carrés employant 15 personnes, lorsque son père est tombé malade. Il a ensuite développé l’entreprise en construisant une usine de 1 800 mètres carrés. Cependant, des divergences avec son beau-frère ont conduit à une séparation, et c’est ainsi qu’est née FAIN.

Nous sommes dans les années 1970, une période où la maintenance d’ascenseurs était moins valorisée que la production. Nicolás Mediavilla a su anticiper l’importance croissante des services dans l’industrie. Il a généreusement laissé à sa famille l’usine, le nom commercial d’Ascensores Mediavilla, et la moitié du portefeuille d’appareils en maintenance. Il a commencé sa propre aventure avec l’autre moitié du portefeuille de maintenance et le soutien des techniciens qui ont choisi de le suivre.

Nicolás a loué un bureau au public, un concept novateur à une époque où les entreprises d’ascenseurs opéraient généralement depuis des garages. Ainsi, il a révolutionné le secteur en établissant le premier bureau commercial du secteur centré sur le service à la clientèle, situé au Docteur Esquerdo.

À quoi doit ressembler un entrepreneur ?

« Si vous n’êtes pas ambitieux, vous n’êtes pas un entrepreneur. Il faut prendre des risques et croire en son entreprise pour la rendre plus grande et plus compétitive. » C’est la vision de Nicolás, et elle s’est avérée juste. Il est passé d’un portefeuille de 1 100 ascenseurs à l’ouverture de délégations dans toute l’Espagne et même au-delà.

Aujourd’hui, la petite entreprise familiale de 15 personnes s’est métamorphosée en une grande entreprise comptant plus de 1 100 employés, avec des filiales internationales en France, en Belgique, en Suisse et en Irlande.

Nouvelles générations : la famille comme pilier

Nicolás a élevé ses trois enfants en les impliquant tôt dans l’entreprise familiale, FAIN. Grâce à une éducation internationale, Nicolás, Gema et Jorge ont développé des compétences linguistiques dont leur père est très fier. Aujourd’hui, ils occupent des postes clés : Nicolás est le Président, Gema dirige le Marketing et la Communication, et Jorge est le Directeur Commercial des projets spéciaux.

Malgré leurs profils différents, ils unissent leurs efforts pour internationaliser et professionnaliser l’entreprise, souhaitant que l’entreprise ne dépende pas seulement de la famille en recrutant des professionnels compétents. Les petites-filles, Adriana, Alejandra et Olivia, s’impliquent et montrent un attachement profond à l’entreprise. Elles participent activement en proposant des idées, en enregistrant des vidéos et en organisant des activités familiales avec d’autres enfants d’employés, les ‘fainitos’.

Ces nouvelles générations ont à cœur les trois objectifs stratégiques de FAIN, et il est évident qu’elles envisagent de continuer l’héritage familial, ne souhaitant jamais vendre l’entreprise.

La crise de 2008

L’histoire de FAIN a connu des épreuves, particulièrement entre 2008 et 2015, période marquée par la crise financière. Nicolás Mediavilla partage qu’il a dû prendre des décisions qu’il n’avait jamais envisagées au cours de ses 50 ans d’activité.

 Malgré la nécessité de licencier de nombreux employés pendant ces années difficiles, nous avons tenté d’adopter une approche respectueuse.

Tous les travailleurs licenciés ont été correctement indemnisés. Nous avions pris une décision stratégique, bien que difficile : privilégier le licenciement des plus jeunes, conscients qu’ils avaient de meilleures chances de retrouver un nouvel emploi, avec toute une vie devant eux. Cependant, nous avions choisi de maintenir le niveau de rémunération des employés plus anciens. Cette décision, motivée par leur contribution à la construction de l’entreprise, fut logique pour Nicolás. En effet, ce dernier souligne que les laisser partir à leur âge aurait été, selon ses termes, « un coup bas ».

Quant à la direction de l’entreprise, on la laissa à une personne extérieure à la famille, selon Mediavilla, « le meilleur professionnel du secteur dans en Espagne : Rafael Fernández. »

FAIN : un lieu pour se développer.

Gema Mediavilla, fille de Nicolás et actuellement Directrice du Marketing et de la Communication du Groupe FAIN, considère l’entreprise comme un lieu idéal pour un développement professionnel et personnel. Chaque jour, en rentrant chez elle, elle réfléchit à sa contribution pour susciter un engagement accru dans l’entreprise. Son objectif est double : favoriser la croissance de l’entreprise tout en créant un fort sentiment d’appartenance et de bonheur parmi les collaborateurs.

Chez FAIN, l’attachement aux origines familiales est préservé, avec plusieurs activités organisées chaque année pour les familles des employés, comme la Fête de Noël et la Fête des Familles. L’entreprise aime impliquer les plus jeunes, les laissant explorer les locaux, rencontrer d’autres « fainitos » et, finalement, beaucoup d’entre eux se joignent à ce grand projet.

Parmi les illustrations concrètes de cette transmission intergénérationnelle figurent des individus tels que Kike, Vanesa, Yolanda et Raquel, dont les parents ont apporté leur contribution précieuse à FAIN pendant de longues années. Pourquoi plusieurs générations sont-elles attirées par FAIN ? C’est une opportunité à saisir par soi-même, une incitation à explorer et à découvrir par soi-même les éléments qui font de cette entreprise un lieu si attractif pour différentes générations. C’était un court résumé de notre histoire. Mais, chez FAIN, nous savons que de nombreux défis nous attendent encore et que les chapitres suivants de cette aventure restent à écrire. On les écrit ensemble ?